vendredi 29 janvier 2010

Les autres cibles visées par la prestation



  • Les organismes de financement
Gratuit pour les bénéficiaires, « l'accompagnement à la scolarité coûte cependant de l'argent. Il faut payer les locaux (entretien, chauffage, etc.), quand ceux-ci ne sont pas mis gracieusement à la disposition des organisateurs par la Mairie, l'Office HLM, le Centre Social, etc. Il est nécessaire d'acquérir que peu de matériel pédagogique : manuels, dictionnaires, encyclopédies, tableaux, etc. Il reste aussi à payer la rémunération des animateurs, qui, selon les situations locales, reçoivent, pour chaque heure, 8, 10, 12 euros nets ». (Glasman, 2004). Il est donc impératif de trouver des organismes de financement et de subvention pour subvenir aux frais engendrés pas la réalisation de la prestation d'accompagnement à la scolarité.

  • Les intervenants salariés
« Il existe des intervenants salariés, même s'il s'agit davantage de vacations pour un certain nombre d'heures hebdomadaires (de 2 à 15) que d'un véritable salaire. La question de la professionnalisation de ces intervenants a été plusieurs fois posée et elle n'est pas sans poser de multiples questions, tant aux institutions nationales ou locales qui financent, qu'aux associations qui les emploient, et aux intervenants eux-mêmes. A tous les niveaux existent à la fois une stimulation et une réticence très forte à la professionnalisation. » (Glasman, 2004).

  • Les intervenants bénévoles
« Les intervenants bénévoles ne sont pas seulement des retraité(e)s ou des mères de famille ayant fini d'élever leurs propres enfants, on trouve aussi parmi eux des jeunes, étudiants voire grands lycéens. Certains bénévoles bénéficient d'une sorte de compensation ». (Glasman, 2004).

jeudi 28 janvier 2010

Coût théorique de la prestation


Glasman « estime à 5 euros le prix de revient par élève et par séance (1h30) » de la prestation d'accompagnement à la scolarité pour une séance avec 15 élèves. Toutefois cette estimation peut être nuancée et être réévaluée à la hausse puisque « les 15 élèves prévus ne sont pas nécessairement tous là à chaque séance », et que le nombre de journées d'exercice de la prestation varie en fonction des années (bissextiles, jours de congés, etc). Ainsi, le « coût effectif de la prestation pourrait monter jusqu'à 6 euros par élève », ce qui reste modeste pour ce type d'activité.

lundi 25 janvier 2010

La cible finale visé par la prestation


« Si aucune restriction n'est apportée à la fréquentation, les dispositifs s'adressent en fait aux écoliers et collégiens issus des milieux populaires, résidant dans les quartiers populaires des villes grandes ou petites, ainsi que dans certaines zones rurales ». (Glasman, 2004).
Les dispositifs d'accompagnement à la scolarité reçoivent donc principalement:

  • Des enfants d'origine populaire (fils et filles d'ouvriers, d'employés, de personnel de service),

  • Des enfants de parents en situation de précarité sociale (divorcés, chômage, RMI),

  • Des enfants issus des immigrations récentes (Maghreb, pays d'Afrique sub-saharienne, de Turquie, parfois d'Europe de l'Est).

  • Des enfants issus de familles dites « nomades » (tziganes, gens du voyages, etc).
« Les élèves issus des classes moyennes, voire des franges supérieures de la catégorie ouvrière sont en revanche peu présents, leurs parents préférant les faire bénéficier de cours particuliers payants ». (Glasman, 2004).

mardi 19 janvier 2010

Les typologies d’élèves et leurs besoins associés à la prestation



  • «Les « bons élèves » : « réguliers attentifs, intéressés, et ils viennent là s'assurer des moyens de leur régularité. A la différence de l'espace familial, où certains disposent de peu de place et de calme et ne peuvent guère compter sur l'appui technique d'un adulte (même si leurs parents les encouragent à faire leur travail), l'accompagnement scolaire leur offre un cadre, qui rend le travail scolaire plus sereinement réalisable. De plus, ils savent pouvoir bénéficier, au besoin, de conseils et d'explications pour faire leurs devoirs » (Glasman, 2004).

  • Les « élèves moyens » : Ils sont ici à la recherche d'encadrement, d'encouragements à s'investir et d'un accompagnement scolaire rapproché. (Glasman, 2004).

  • Les « élèves en difficulté » : « selon tous les textes qui définissent l'accompagnement à la scolarité et en délimitent le public visé, ils ne devraient pas être là, dans la mesure où leurs difficultés relèvent non d'un accompagnement mais d'un véritable soutien revenant aux professionnels, compétents pour les aider à y faire face. Ils réclament l'aide des animateurs, encore et encore, éventuellement de manière presque compulsive, s'inquiétant si la personne qui les suit s'éloigne ou semble les délaisser pour s'occuper d'un autre. Mais pour cette partie des élèves c'est temps perdu s'ils n'ont pas d'abord été, à l'école, pris en mains par quelqu'un qui pouvait les aider à surmonter les obstacles qu'ils rencontrent dans leurs apprentissages ». (Glasman, 2004).

vendredi 15 janvier 2010

La répartition du temps sur le contenu de la prestation


Là encore, selon les dispositifs, nous pouvons distinguer deux types de répartitions du temps sur le contenu de l'activité de prestation :

  • D'une part, « il en est dans lesquels on ne fait que les devoirs, à l'exclusion de toute autre activité ; ou bien on ne fait que du travail très directement indexé sur les apprentissages scolaires, sans le détour opéré par les activités culturelles». (Glasman, 2004).

  • Dans d'autres, « le temps est en principe divisé équitablement : d'abord les devoirs, puis les autres activités ». (Glasman, 2004).
« Mais la demande des enfants et adolescents présents est très souvent qu'on prenne tout le temps nécessaire pour faire les devoirs, ils mettent éventuellement en œuvre des stratégies et des ruses pour transformer l'accompagnement à la scolarité en aide aux devoirs pure et simple, en réduisant à la portion congrue les autres activités ». (Glasman, 2004).
Cette constatation est également partagée par Celine Piquée (Enseignante-Chercheur au Centre de Recherche sur l'Education et les Apprentissages et la Didactique de Bretagne, CREAD) qui a mis en évidence que « près des deux tiers des 49 dispositifs qu'elle a enquêtés consacrent plus de 70% du temps des séances aux devoirs, et la quasi totalité plus de 60% du temps » (Glasman, 2004).

jeudi 14 janvier 2010

Réunion du 14 janvier 2010


Personnes présentes :

BOUCQ Stéphane

Gönenç Laurent

FOUASSIER Mylène



Personne excusée : /



  • Liste d'action pour la prochaine fois :
Réalisation du bisness plan chacun chez soi puis en commun

Voir pour le tableau de Gantt ?

Ordonnancement de projet > définition des tâches



  • À faire avant fin janvier (23/01/2010)
Chacun poste son analyse sur le blog, puis mise en commun

Et Réalisation d'un projet final



  • Réalisation du Gantt
Et des tâches qui en découlent



  • Regarder les différentes offres commerciales d'aide/soutient aux devoirs sur internet
Pas de comparaison possible ?

C'est une association pas une entreprise !

Le but étant de délivrer une aide la moins cher possible pour tous

C'est une aide à la scolarité, pas un soutient scolaire



  • Vu pour la mise en ligne d'article sur le blog par Word
(informations à demander à Laurent en cas de problème)

Impossibilité de mettre des documents EXCELL sur le blog



  • Une idée de projet sur plusieurs branches… pourquoi ne pas avoir fait des activités ?
Pourquoi l'aide aux devoirs ?

Ce que l'on y fait ?

Pousser l'idée dans le concept et non dans la finalité en fin juin

Notation sur la construction, sur l'idée de projet

Le blog est un journal qui doit recenser les actions pour le projet et non uniquement la finalité du projet




 

mercredi 13 janvier 2010

Réunion du 13/01/2010


Présents :

BOUCQ Stéphane

Gönenç Laurent

FOUASSIER Mylène



Personne excusée : /



  • Fiche de remboursement pour le défraiement kilométrique
  • Ajout de contact dans le groupe pour la gestion du blog
Recherche d'association pour le forfait kilométrique

Recherche de fiche sur le net, avec un tableau concernant le défraiement en fonction du véhicule :

http://www.completude.com/?xtor=SEC-24-GOO-[soutien_scolaire]-[soutien_efficace]-C-[aide%20aux%20devoirs]&xts=388736

http://www.cours-einstein.com/nos-tarifs-college.php



Nombre d'heures
10
20
30
45
60
90
Coût de l'heure de cours
toutes charges comprises
30,00 €
28,50 €
27,00 €
25,50 €
25,00 €
24,00 €
Coût total du forfait
toutes charges comprises
300,00 €
570,00 €
810,00 €
1145,00 €
1500,00 €
2160,00 €
Coût total du forfait
après réduction d'impôts de 50 %
150,00 €
285,00 €
405,00 €
572,50 €
750,00 €
1080,00 €
> Soit par heure
15,00 €
14,25 €
13,50 €
12,75 €
12,50 €
12,00 €


Notre politique :

> Aucun " frais d'inscription " en supplément des cours
> Un tarif unique sur toute la France
> Toutes charges et cotisations sociales comprises
> Des facilités de paiement sur simple demande



  • Recherche d'information concernant la réduction d'impot ouu l'utilisation de chèques emploi service :
http://www.laureat.fr/cours-particuliers/joomla_solutions-tableau.php?NbTab=0&Cp=45770

http://www.laureat.fr/la-reduction-d-impots.html

http://www.zupdeco.org/

Proposition de réaliser des forfaits pour les élèves

Carte sur le même principe d'un ticket cantine (un ticket par séance)

un chèque de XXXX € = 10 séance de soutient

Évite les grosses transactions pour les parents. Permet de venir uniquement quand l'élève en ressent le besoin.

Ceci ne donne pas un aspect OBLIGATOIRE du soutient mais plus une implication de l'élève.

  • Recharche d'un nouveau slogan :
Apprendre à apprendre est un slogan déposé :

http://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/index.php

Il faut donc trouver un autre slogan : réussir est un plaisir

    à réfléchir

volonté/ réussite /apprendre > apprendre est une question de volonté



Pour la prochaine réunion :

se pencher sur l'historie des chèques emploi service et els réduction d'impôt

définir le système de paiement des élèves

définir le défraiement